Le Cercle du Capharnaüm

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#1 15 Oct 2010 19:22:51

Salim
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Date d'inscription: 17 Jun 2010
Messages: 2

[PJ] Hakim Ibn Mussah

Ce soir-là, Hakim se reposait étendu sur un lit. Les choses avaient pris une tournure assez inattendue ces derniers temps, et ce n’était guère plaisant. Il se prenait à réfléchir à ce qui se tramait dans son dos à Jergath-la-grande. Deux mois plus tôt, il fuyait Kh’saaba avec son ami de toujours Rachid, et Luis Esteban de Valadon émissaire d’Aragon à la cour du roi Omar Ibn Malik. Ce qui avait paru de prime abord comme une simple tentative d’assassinat destinée à mettre en disgrâce sa famille semblait maintenant bien plus grave. On l’avait déjà mis en garde plusieurs fois ; Rachid d’abord, en fidèle garde du corps, qui lui avait fait part de ses intuitions ; le prophète du désert ensuite ; puis une missive d’une concubine de son père qu’il considérait comme sa mère, qui faisait suite au courrier plus officiel de son frère. Beaucoup de monde semblait impliqué, et trop de questions se posaient.
Pendant qu’il pesait ses pensées, Hakim se leva et retourna s’assoir devant un petit bureau en ébène sculpté. Saisissant la plume qui reposait dessus, il se pencha sur un papier et entama d’une écriture assuré la rédaction de son journal.




LE JOURNAL D’HAKIM IBN MUSSAH ABD-AL-HASSAN



Il est des choses qui changent votre vie. Certains hommes ne font que les croiser, d’autres se laissent bercer par elles. Moi, je ne les compte plus.
Je sais que mon heure viendra, et que ma fin sera foudroyante. J’ignore si, comme les Kahini m’en tourmentent, mon âme errera longtemps parmi les étoiles.

Je sais que beaucoup de choses m’échappent, et que je suis l’outil d’un dessein plus grand. Je n’arrive pourtant pas à me laisser porter, et à cesser de me sentir persécuter par lui.

C’est contraint pour ma destinée que j’écris ces lignes, et je prie Houbal que leur rédaction ne m’amène pas de nouvelles surprises.

CHAPITRE PREMIER : L’ENFANT

C’est à 6 années révolues qu’a pris fin mon enfance. On définit souvent cette période de la vie comme un moment d’innocence, de pure naïveté, où les malheurs du monde sont encore inconnus. Le plus pauvre des enfants, bien qu’il soit affamé et vêtu de guenilles, qu’il vive en temps de guerre ou de paix, continuera encore à s’amuser. Je ne connus ce bonheur que peu de temps.

Cet automne-là mon père partait en mission diplomatique, et pour la première fois il décida de m’amener avec lui. Depuis mes premières leçons j’attendais ce moment. Je me sentais si important à l’idée de participer à un voyage vers la lointaine Fragrance. Je me rappelle le lendemain avoir demandé à mon tuteur Salim Ibn Mirak – Houbal bénisse sa descendance, cet homme prenait son devoir au sérieux – de me montrer sur les cartes quel serait notre parcours. Je n’étais pas encore parti que je rêvais déjà d’aventure et, Melpomène m’est témoin, j’en eu tout mon saoul.
Au matin du premier jour de la seconde décade de l’automne 5979 la caravane partit. J’avais pris place avec père dans un palanquin, et pendant la première décade du voyage il me donna la leçon lui-même tous les matins. Je savais que mon tuteur se trouvait quelque part dans la caravane, et je ne pus éviter de comparer les deux hommes.
J’admirais mon père évidement. Son savoir semblait aussi infini que les étoiles dans le ciel, et sa patience n’avoir de limite connue. Si Salim arrivait toujours à expliquer les choses de façon à ce que je les comprenne, mon père lui disait ceci : « Fils, les choses ne sont jamais simples. Notre devoir est de les exposer dans toute leur complexité, et de trouver des solutions qui tiennent compte de ce fait. » J’étais fier de ces leçons. Fier d’être son fils, et son héritier. Quelle ironie ! J’en connais une qui serait satisfaite de lire ces lignes.

Ainsi le voyage débuta sous les meilleurs auspices. Un vent de sud rendant la chaleur plus supportable, et nous avancions à bonne allure. Au début de la seconde décade je repris les leçons avec mon tuteur, et ainsi j’eus droit à plusieurs matinées de cours sur les systèmes mis en place depuis l’arrivée Agalathéenne afin de cultiver les terres arides de Kh’saaba. Je me souviens du talent de Salim pour apporter successivement le sujet des leçons à partir du contexte environnent, car les fenêtres du palanquin semblaient toujours illustrer ses dires. Après la leçon il faisait trop chaud pour s’aventurer dehors et j’en profitais pour me reposer en réfléchissant à ce que j’avais appris, mais dès que cela était possible je m’aventurais parmi la caravane. Les gardes étaient bons avec moi, et ils me faisaient monter avec eux à dos de dromadaire. Je me rappelle encore du vent dans mes cheveux pendant que nous cavalions à toute vitesse en doublant la caravane, les cris de Salim de mise en garde se perdant derrière moi pendant que je rigolais de tout mon cœur. Que ces moments ne pussent-ils durer éternellement, les choses étaient si belles.

Peu avant la fin de la seconde décade nous arrivâmes à Mouhyl, dernière ville avant d’affronter l’Aramla El Nar. Cette nuit nous dormîmes dans des draps propres et frais, et la nuit fut douce, peut-être pour la dernière fois. Au lendemain il me semblait que nous allions affronter milles merveilles encore, et c’est sans regret que je voyais la ville s’éloigner par la fenêtre de mon palanquin pendant que Salim me faisait la leçon du matin. Je déchantais vite. Dès la première nuit de la troisième décade de notre voyage, le vent s’accentua. Nous faisions maintenant face à l’Aramla El Nar, et affrontions un vent chaud et sec de nord. Compte tenu du sable que ce vent soulevait il était devenu très désagréable de se tenir dehors, c’est pourquoi je restais dans le palanquin avec Salim. Il me harcelait de questions et semblait toujours vouloir tenir mon esprit en éveil, mais je trouvais cela vraiment agaçant. Au bout de trois jours, enfermé ainsi je commençais à devenir très rebelle. Mon tuteur déployait des montagnes de patience afin de me tenir en place, et continuait inlassablement à m’enseigner des choses. Aujourd’hui encore j’ignore de quoi il me parlait, il me semble qu’il était sujet de l’histoire des Shiradims et de leur traversée du désert. A la fin de la troisième décade, après 8 jours enfermé à supporter le sable et le vent, et alors que les soldats commençaient à retrouver espoir à l’idée d’arriver en vue de la prochaine ville où disaient-ils nous aurions beaucoup d’eau, je m’éloignais de la caravane pour faire mes besoins. Quand j’y repense, il me semble que les actions les plus simples et les plus courantes semblent toujours se jouer de vous mettre dans les situations les moins confortables.
Alors que je m’occupais de mes besoins non loin de la caravane, la tempête de sable s’accentua. Je me souviens que ma mère m’avais donné un turban, fière qu’elle était de me voir accompagner mon père dans le désert. Les bourrasques étaient si fortes que je le perdis, et que, le saroual encore sur les chevilles, je me mis à courir pour le récupérer. Ce qui me frappe encore aujourd’hui, c’est d’avoir eu la pensée que je pouvais me faire gronder pour l’avoir perdu. Les enfants peuvent avoir une vision des évènements si étrange parfois.

C’est donc au 9ème jour de la troisième décade du premier mois de l’automne que je perdis la trace de la caravane de mon père, quelque part loin au nord de Mouhyl. La tempête continua pendant 3 jours presque sans interruptions. Au début il me semblait entendre des cris dans le vent, mais j’étais incapable d’en identifier la provenance. Je marchais en aveugle, ma vision ne portant pas à plus d’un mètre. Et même en fixant le sol, le sable volait tant que je n’arrivais pas à garder longtemps les yeux ouvert. Après quelques heures à me débattre contre les éléments, je finis par déchirer une manche de mon vêtement et de m’en servir comme turban. J’y gagnais en visibilité assurément, mais ça ne m’aidait pas à voir à travers le sable.

Je devais tomber quelques heures plus tard par terre, et sombrer dans l’inconscience. Je me souviens m’être réveillé une fois, la nuit était tombée et la fraicheur avec. Je m’étais servi de mes mains pour creuser le sable et m’y enfouir, afin de ne pas mourir de froid. Sitôt installé je devais retomber vite dans le sommeil. C’est la chaleur qui me réveilla. J’avais le boucher sèche, aucune idée de la direction dans laquelle j’allais, et de l’endroit où je me trouvais. Je décidais de tourner le dos au soleil, c’était plus facile. Le temps semblait imperturbable, le paysage ne jamais changer. Je pouvais voir quelque part sur ma gauche des falaises, mais aucun signe de vie. Je continuais mon chemin, repensant aux cours de mon tuteur, au fait qu’il aurait su lui, comment sortir de ce désert.

Je sombrais de nouveau dans l’inconscience. Je faisais des rêves, où je marchais sans m’arrêter dans des palais verdoyant, où des cours d’eau traversaient des jardins fleuris. Cependant j’y continuais mon chemin, ignorant l’eau qui coulait à flot pendant que ma gorge continuait de s’assécher. Une femme de l’âge de ma mère me proposait un thé sur le bord du chemin, mais je refusais d’un signe de la tête et continuais. Je m’enfonçais plus loin dans le palais, sans jamais voir le bout de la route que je prenais. Chaque fois que je regardais au loin tout était flou, et lorsque je baissais les yeux sur mes pieds je pouvais voir très nettement les pierres sur lesquelles je marchais. Je croisais des enfants qui jouaient; certains étaient affublés de masques à tête d’animaux. Ils couraient et riaient, et m’invitaient à me joindre à eux. Et je continuais de marcher. Les images devenaient troubles au fur et à mesure que j’avançais, les palais devenaient des ruines, les cours d’eau s’asséchaient pour ne laisser que des crevasses craquelées. Il n’y avait plus âme qui vive. Le temps n’avait plus de consistance.
A perte de vue s’étendait maintenant un désert de sable bleu. J’avançais en suivant un chemin dont les pierres disparaissaient peu à peu, au point où je finis par ne plus en voir le tracé. Jusqu’à l’horizon je pouvais voir la mer de sable bleu s’étendre et rejoindre en un point indéfini un ciel de rose pâle. Et je marchais. Une dune se profilait au loin, puis semblait se rapprocher de manière surnaturelle, comme si chacun de mes pas me faisait parcourir des distances incommensurables. Depuis le pied de la dune je ne pouvais pas en voir le sommet. J’y arrivais pourtant en quelques pas. Le désert s’étendait toujours au-delà. Dans le lointain il laissait place à un lac à l’eau couleur d’argent, au centre duquel siégeait une tour dont le sommet disparaissait dans le ciel. Un nuage de sable se déplaçait vers moi. Dans la poussière soulevée je voyais maintenant un crabe de taille phénoménale. Il avançait vers moi, se déplaçant de côté. Assis en tailleur sur son dos se trouvait un squelette, portant comme seul habit un keffieh sur le crâne. Ses doigts reposaient sur une perche posée en travers de ses genoux.
Sans hésitation, je dévalais la dune à la rencontre de cet étrange couple. Arrivé en bas, le crabe s’arrêta, et sans un mot le squelette me tendit sa perche. Alors que je m’en étais saisi, il me halait à sa hauteur. Et la caravane repris ainsi sa route. Je voulais leur demander où ils m’emmenaient, mais il me semblait impossible de parler. Je ne ressentais aucune soif, aucune faim. Nous nous dirigeâmes ainsi à travers l’étendue de désert de sable bleu, jusque sur les bords du lac argenté. Lors que nous en approchions, le crabe ne ralentit pas. Au contraire il s’élança à toute vitesse, et sans bruit atterrit sur l’onde. Il flottait. Le squelette se saisit de sa perche, et la plantant dans l’eau fit avancer notre embarcation vers la tour qui se dressait. Elle était maintenant assez proche pour que je puisse en voir les détails. Faite d’un matériau inconnu, elle émergeait du lac pour plonger dans le ciel, trop haut pour que je puisse en évaluer la taille. Ses côtés reflétaient parfaitement le décor, si ce n’est pour certaines lignes horizontales de couleur noir qui semblaient la couper sur toute sa largeur. C’était comme regarder dans un miroir, et j’y voyais au plus bas les reflets argentés du lac, puis à mi-hauteur le bleu du désert, et enfin plus haut le rose du ciel. Il m’était impossible de savoir où elle prenait source, la surface du lac ne laissant rien transparaître. Nous avancions vers cette masse sans jamais nous en approcher, et à chaque mouvement de mon guide la tour s’élargissait.

Une voix retentit derrière moi, grave et guttural. Elle s’adressait à moi :
«  Un émir mourant fait venir auprès de lui ses deux fils. Il leur dit : « Vous voyez à l’horizon le minaret de la ville voisine ? Et bien celui d’entre vous dont le cheval arrivera en dernier à son pied héritera de mon immense fortune. » Les deux fils se précipitent vers l’écurie et partent au triple galop vers le minaret. Pourquoi se pressent-ils ainsi ? »
Nous avancions toujours inlassablement vers l’immense tour, sans jamais nous en approcher. Rassemblant mes esprits, je réfléchis à une réponse puis me tournais instinctivement vers le squelette.
« Chacun a pris le cheval de l’autre. » fut ma réponse.
Imperturbable, ce dernier semblait m’ignorer. J’entendis cependant la même voix qui venait de sous mes pieds. « Tout juste, Hakim. » Je pris ainsi conscience que c’était le crabe qui m’avait parlé.
La tour s’approchait maintenant à grande vitesse, et lorsque nous fûmes juste devant notre étrange groupe s’arrêta. J’avançais vers la paroi abrupte et y posais ma main. Je la sentais, lisse et froide sous mes doigts, et lorsque je retirais ma main je pouvais en voir l’emprunte dans le mur, les reliefs déformant mon propre reflet. Soudain je reçus un coup dans le dos et passais à travers le mur de la tour.

Il faisait noir. Le silence était complet. Je sentais que mon estomac tentait de se loger au fond de mon ventre, et j’avais la sensation d’être collé au sol. Au-dessus de moi, un point lumineux se dessinait. Fixant mon regarde dessus, je vis qu’il grandissait de plus en plus vite, et je compris que je m’élevais vers le ciel. Je me retrouvais au sommet de l’édifice. Neuf femmes se tenaient devant moi. L’une d’elles tenait un parchemin dans ses mains. Elle s’approcha et me le remis. Neuf voix retentirent comme le tonnerre : « Tu es l’enfant de ta mère. L’imaginaire est ta réalité » furent leurs paroles. Je me couvrais les oreilles. Les voix continuaient de raisonner dans ma tête. Je m’effondrais. Ma tête allait exploser. Je sombrais.

Mon esprit s’éveilla pour ne ressentir que de la douleur. Ma bouche était sèche, ma langue était dure, et mes lèvres semblaient soudées au point que je ne pus ouvrir la bouche. La lumière perçait mes yeux comme des dagues acérées, et je n’arrivais pas à réfléchir convenablement. La douleur effaçait toute pensée cohérente. Un homme semblait s’occuper de moi. Je sombrais de nouveau.


Ce n’est qu’après plusieurs jours que je pus comprendre ce qui m’était arrivé. Des bédouins m’avaient retrouvé dans le désert, inconscient et mourant. Ils m’avaient amené à l’oasis la plus proche, où ils s’étaient occupés de me soigner sans grand espoir. A leur surprise, j’avais récupéré en une décade. Dès le second jour un homme m’avait tendu un parchemin enroulé, me disant qu’ils l’avaient trouvé dans ma tunique lorsqu’ils se portèrent à mon secours. Intrigué, j’avais ouvert le parchemin mais il avait été impossible de le lire. Malgré tout je le conservais près de moi en permanence, le mettant sous mon oreiller la nuit, et le gardant caché sous ma tunique le jour. Le souvenir de mon rêve me hantait, et les neuf voix avaient marqué d’une empreinte indélébile mon esprit. Je pouvais encore entendre, la nuit, des murmures des neuf femmes qui parlaient entre elles sans me prêter attention. Mais cela ne devait durer, comme je l’appris plus tard.
Un mois passa ainsi, où je partageais la vie des bédouins, et j’y appris des histoires dont aujourd’hui encore je me souviens. Ce n’est que lorsqu’une caravane croisa un jour notre chemin que je pus reprendre la direction de Jergath-la-Grande afin de rentrer chez moi. Le parchemin lui, disparu une nuit où je dormais. Mais les voix restèrent et s’amplifièrent, jusqu’à devenir un brouhahaha infernale.

Se redressant de toute sa hauteur, Hakim observa la feuille. L’écriture en était assurée, et l’ensemble semblait prendre la forme d’un schéma à la structure complexe. Les mots étaient merveilleux lorsqu’ils étaient couchés ainsi, pensa-t-il. Hochant de la tête pour montrer sa satisfaction, il se saisit du papier et tendit le bras au-dessus de la bougie qui l’éclairait. La feuille se tordit, jaunit puis noircit très vite et se consuma entièrement sous les yeux de son auteur. « A toi, Polymnie » furent les mots qui sortirent de ses lèvres.

La porte s’ouvrit en grinçant. Rachid, toujours silencieux, entra dans la pièce d’une démarche féline. « Hakim, il est l’heure de partir. L’Emir Abd-El-Rhany nous attend » dit-il. Ecartant les doigts, Hakim laissa tomber sur le bureau les restes calcinés de son journal. D’un pincement de doigts il éteignit la bougie sur le bureau, se leva et sortit de sa chambre sans se retourner.

Dernière modification par Salim (20 Oct 2010 17:49:33)

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#2 15 Oct 2010 19:28:21

Salim
Nouveau membre
Date d'inscription: 17 Jun 2010
Messages: 2

Re: [PJ] Hakim Ibn Mussah

Voici donc la première partie du background de mon personnage, Hakim Ibn Mussah. D'autres viendront peut-être, selon ma motivation.

Vous trouverez d'autres joueurs avec qui je joue sur ce forum:
- Cevi notre Rawi bien aimé
- Frère Marc
- Abd El Rhany Ibn Yucef
- El Cavallero

Si vous y trouvez des fautes n'hésitez pas à m'en faire part.
Je suis ouvert aux remarques et questions si vous en avez.

Dans l'espoir que ça vous plaise.
Bonne lecture!

Ps: j'ai volontairement intégré plusieurs références à des mondes très divers, ne soyez pas étonnés si certains passages vous évoquent des souvenirs.

Dernière modification par Salim (20 Oct 2010 17:24:28)

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#3 20 Oct 2010 12:49:53

El Cavallero
Nouveau membre
Date d'inscription: 20 Oct 2010
Messages: 2

Re: [PJ] Hakim Ibn Mussah

Pas mal du tout, je te savais pas si prolifique, j'espère lire la suite bientôt (notamment la rencontre avec Rachid Ibn Rachid).

Tu mets la barre haute, il va falloir que je travaille mon background plus que ce que je l'ai fait pour le moment avant de le poster. smile

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